Josh & Hazel ou comment ne pas tomber amoureux – Christina Lauren – 352 pages

Hazel est une femme délurée, qui n'accorde aucune importance au ridicule, elle n'a aucun filtre et n'hésite pas à finir topless dès qu'elle a trop bu ou à vomir sur les chaussures du plus beau mec de la soirée. Josh, lui, est le calme absolu, le genre, totalement sérieux. Hazel lui ferait presque peur, avec toutes ses frasques, il la considère comme un clown à part entière, qui n'aurait aucun moyen de s'investir dans une relation. Mais lorsqu'après dix ans sans se voir, ils se retrouvent, alors que Josh est dans une mauvaise passe, et qu'ils décident d'organiser une séries de "double dates" pour retrouver l'amour, il devient de plus en plus compliqué de nier qu'il ne se passe rien entre eux…

L’Appel de l’Ange – Guillaume Musso – 400 pages

Repérant la dernière table libre de la cafétéria d'un aéroport, deux personnes se précipitent vers celle-ci. Elles se téléscopent et leurs téléphones tombent. Rien de spécial, chacun ramasse ses affaires et retourne de son côté. Mais quand, une fois chez eux, à Paris et San Fransisco, ils se rendent compte que les appareils ont été inversés, ils ne peuvent s'empêcher de céder à la curiosité et d'explorer l'univers de l'autre, au risque de découvrir de sombres choses..

Toutes blessent, la dernière tue – Karine Giebel – 800 pages

❗Ce texte n'est pas une critique, mais un plaidoyer sur l'esclavage moderne, que j'ai eu l'occasion de réaliser. Il est adapté de ce livre, par conséquent, si vous ne l'avez pas lu, mais que vous avez prévu de le faire, vous risquez d'y retrouver plusieurs spoils.❗

Les gens heureux lisent et boivent du café – Agnès Martin-Lugand – 192 pages

"Ils étaient partis en chahutant dans l'escalier. J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux." Diane perd brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. C'est peut-être en foulant la terre d'Irlande, où elle s'exile, qu'elle apercevra la lumière au bout du tunnel.